un autre angle de vue....et des positions du syndicat des chefs d'établissement cela peut interesser les parents...
Le discours de nos responsables politiques vise à rassurer, en utilisant souvent les chiffres en "valeur moyenne nationale" (que l'on aimerait vérifier), masquant ainsi une réalité dont seuls les élèves , les professeurs et les chefs d'établissements sont témoins;
3 exemples : Lettre du SNPDEN audience au Recteur de NICE
SNPDEN de l'académie de CRETEIL, en particulier la motion n°3
l'autre du SNPDEN de TOULOUSE qui diffuse cette déclaration
Une des dernières interventions de notre ministre cite une moyenne de 28 élèves par classe en lycée....
Nous savons bien que cette valeur moyenne ne signifie rien, la réalité du terrain nous confronte à des effectifs compris entre 30 et 35 déjà, avec quelques exceptions; ceci n'est qu'un exemple illustrant la désinformation permanente que l'on entend depuis quelques temps et qui vise uniquement à contrer l'importance prise par les mouvements des lycéens, des professeurs et des parents engagés.
Le malaise des proviseurs de lycée et principaux de collège est perceptible; ils ont un devoir de réserve, c'est compréhensible; mais leur syndicat, le SNPDEN diffuse cette inquiétude dans différents documents, à partir de leurs sites internets académiques. On peut se rendre compte que nos revendications se retrouvent dans leurs inquiétudes. Curieusement, il y a contradiction avec ce que l'on entend parfois dire par des recteurs ou des chefs d'établissement à la TV; comme quoi le devoir de réserve a ses limites....
Nous savons bien que cette valeur moyenne ne signifie rien, la réalité du terrain nous confronte à des effectifs compris entre 30 et 35 déjà, avec quelques exceptions; ceci n'est qu'un exemple illustrant la désinformation permanente que l'on entend depuis quelques temps et qui vise uniquement à contrer l'importance prise par les mouvements des lycéens, des professeurs et des parents engagés.
Le malaise des proviseurs de lycée et principaux de collège est perceptible; ils ont un devoir de réserve, c'est compréhensible; mais leur syndicat, le SNPDEN diffuse cette inquiétude dans différents documents, à partir de leurs sites internets académiques. On peut se rendre compte que nos revendications se retrouvent dans leurs inquiétudes. Curieusement, il y a contradiction avec ce que l'on entend parfois dire par des recteurs ou des chefs d'établissement à la TV; comme quoi le devoir de réserve a ses limites....
3 exemples : Lettre du SNPDEN audience au Recteur de NICE
SNPDEN de l'académie de CRETEIL, en particulier la motion n°3
l'autre du SNPDEN de TOULOUSE qui diffuse cette déclaration
Cette suppression massive de postes, disproportionnée par rapport à la baisse momentanée du nombre d'élèves est injuste, et inquiétante, on ne le répètera jamais assez; sa logique s'inspire de l'ultra libéralisme de notre gouvernement et non d'un réel soucis de réformes constructives.